Rien à déclarer du côté du ciel
Rien à déclarer du coté du ciel - EXPERIENCE
#CONCERT
création en cours
Une invitation simple, un duo musique et danse pour un vrai concert d’un genre nouveau : la Ghost musique.
Rien ne se crée et tout se transforme. Deux corps, un danseur et un musicien, passeurs de mélodies, héritiers de thèmes et mouvements, chasseurs de fantômes, avides de références jouent avec votre perception mémorielle en vous donnant cette impression savoureuse, au détour de quelques notes et de quelques gestes, du déjà connu et du déjà entendu.
THÉÂTRE
création 2021
Qu’est-ce qui pousse les humains, quelles que soient les époques et les cultures, à venir voir, écouter, entendre d’autres humains évoquer leurs singulières représentations du monde ? Entre farce, sottie et avant-garde, la pièce est pensée comme une longue variation faite de répétitions, de saynètes, d’interruptions s’amusant de fragments de danse, de souvenirs de théâtre (personnels ou collectifs), d’évocation de musiques liées à la scène, de réécriture jusqu’à l’absurde, où l’idiot, le bête, le monstrueux et le drôle font leur apparition en même temps que le beau, le virtuose et le grave.
BODY BAGARRE
création 2021-2022
C’est un jeu (de danse) de société mêlant improvisation et histoire de la danse. Imaginé par Mathieu Heyraud, cette expérience ludique, pour 2 équipes et un public nombreux, propose un voyage dans plus de 300 ans d’HISTOIRE du mouvement dansé par la mise instantanée en danse des corps des joueurs/danseurs. Avec BODY BAGARRE, la culture devient générale et l’art de la danse une aventure humaniste à explorer. Ce spectacle tout terrain offre un accès direct aux oeuvres (chorégraphiques), sans appréhension, ni sentiment de non-savoir, tout en plongeant le spectateur/joueur dans des esthétiques multiples (du flamenco à la performance, du ballet classique au mouvement DADA...) sans peur ni à priori.
LOCAL
création 2019-20XX
co-écrit avec Eloise Deschemin (EALP)
Armés de nos regards d’anthropo-bricologues, nous décidons de parcourir la ville pour y tenter une cartographie chorégraphique. Un parcours fait de corps, de glissements, de glanes sur le chemin. LOCAL, ça dure 5 jours, ça se passe dans un magasin vide qui sert de lieu de fabrique la journée et de lieu de spectacle en soirée. On y parle du vide, le vide qui n’est pas vide, qui est déjà plein. Une propositon entre convivialité, pratiques partagées, et représentations qui interroge la relation des artistes aux villes, de l’art aux habitants.
COURTES ÉTUDES SUR L'INVISIBLE
création 2018 - recréation 2021
Un solo chorégraphié et dansé par Mathieu Heyraud, imaginé à la fois pour la scène et l’espace public. Dans ce spectacle, il s’agit de s’emparer de l’invisible comme motif chorégraphique, et jouer avec ce qui ne se voit pas, ce qui n’est plus ou ce qui n’a jamais existé d’ailleurs... Une série d’études au sens musical du terme, une série de virtuosités qui pousse à faire disparaitre le geste technique pour laisser la place à une sensation du monde. En 2021, le solo se réinvente dans une version in situ pour des lieux patrimoniaux, une visite guidée par les regards que l’on porte sur les choses, les espaces, le passé…
CORTEX
création 2017
Une exposition guidée-performée - L’occasion de décliner, de détourner le corps et le mouvement, et s’amuser avec la réincarnation et la citation le temps d’un parcours. CORTEX serait un jeu de corps et de mots, une promenade de l’autre côté entre la danse et le temps, une exposition pour vérifier que le langage chorégraphique n’est pas mort.
Et vous, vous dansez ?
DISPARITION
création 2018
Une création chorégraphique quotidienne pour rez-de-chaussée vacants qui se regarde comme un feuilleton. Chaque soir, pendant au minimum une semaine, 2 improvisateurs, une créatrice lumière et une performeuse textile jouent en direct une création en construction permanente témoignant des imaginaires de la disparition: désir de disparaitre à soi-même, tour de magie, réinvention de l’espace, apparition chimérique, réchauffement climatique, perte d’identité, érosion de la mémoire, effacement, dissolution des corps, fragilité de la présence, deuils, camouflage, absence …
Rien à déclarer du côté du ciel
création 2016
Duo pour théatre ou église - À la scène, qu’elle soit agora publique, abbaye ou théâtre, Mathieu Heyraud se joue de ces espaces propices à la mise en jeu de nos représentations humaines, avec sérieux, humour, et distance.On y parle du ciel, mais pas que de la pluie et du beau temps. Un travail sur le corps pesant et violent, ridicule et touchant, sacré et profane, bleu et sang...
Les balançoires, trilogie de l’intime
création 2013
Une trilogie en deux chapitres (un solo et un duo) qui questionne notre rapport personnel aux choses, aux autres et à la scène. Du noir à la lumière, du sérieux au jeu, du corps au rire,… Un voyage immobile du grave vers la légèreté. La proposition est un dialogue entre le chorégraphe et les interprètes, l’occasion de questionner la relation particulière qui les lie. Les artistes deviennent le sujet ; leurs envies, le décor.
Bal / laB
création 2011
Une expérience singulière entre spectacle intéractif, performance et soirée de bal. Trois artistes tentent de faire entrer le public dans leur danse. Un projet sur la rencontre des sphères intimes et populaires que les corps dansants transportent et transmettent. La gêne puis les fous rires avant d’être envahis par le plaisir de danser.
Nature morte
création 2010
Un quintet imaginé comme une réflexion sur la perte de mémoire. Basés sur l’importance de la rencontre humaine, de l’exploration commune, et de la découverte de l’autre, le travail réunit danseurs et comédiens afin de questionner de nouveaux rapports au corps et à la scène. Déconstruire les notion de dramaturgie et de théâtralité étaient les enjeux de recherches de cette deuxième création.
Les Papillons sont éphémères
création 2007
Une première fois, un coup d’essai, rien de plus, rien de moins. Se retrouver seul face au temps qui a passé, face à tout ce qui a été fait et tout ce qui reste à faire. Une nouvelle fois raconter la même histoire, encore une fois lui donner une nouvelle forme. Se déshabiller pour dépouiller l’espace, et compresser le temps qui a déjà tendance à passer trop vite. Le temps d’un trio pour se débarrasser des questions de narration et d’histoire d’amour.